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Quels sont les dangers liés aux probiotiques ? Risque-t-on une surdose si on ne prend pas les bonnes précautions ? Natura Force revient pour vous sur cette question légitime et essentielle !
Avant toute chose, il faut faire un petit rappel sur les principaux intéressés par ce sujet : les probiotiques. Ce sont des micro-organismes vivants (bactéries, levures), censés améliorer la composition bactérienne de notre flore intestinale. Celle-ci se composant de bactéries de différentes natures, dont les plus répandues sont le Saccharomyces cerevisiae et le Lactobacillus. Ces micro-organismes composent ce que l’on appelle les probiotiques, présentés sous diverses formes : médicaments, compléments alimentaires, ou même, aliments fermentés.
Les traitements à base de probiotiques sont considérés comme sûrs dans la majorité des cas. À travers le monde, des millions de personnes les utilisent, parfois quotidiennement, . Les études scientifiques démontrent d’ailleurs leurs bienfaits sur notre organisme à différents niveaux : renfort du système immunitaire (1), maintien du microbiote, amélioration du transit, soulagement des symptômes de certaines maladies et autres troubles gastro-intestinaux… Et bien d’autres encore ! Nous vous invitons à les découvrir à travers les différents articles que nous leur avons consacrés.
Les probiotiques sont sécuritaires pour les personnes en bonne santé. Mais cela ne signifie pas qu’ils sont sans danger pour tout le monde, et dans n’importe quelles conditions. Faisons le point ensemble.
Lorsque l’on respecte les conditions d’utilisation de ces produits, les probiotiques parviennent en vie dans les intestins et le côlon. Débute alors une profonde modification de la flore intestinale, que l’on appelle aussi microflore. Il est alors courant de voir apparaître des symptômes digestifs bénins et le plus souvent mineurs. La fermentation et les irritations de la muqueuse intestinale que ces probiotiques provoquent en sont à l’origine. Ils sont courants, normaux et passent rapidement dans la majorité des cas. Ce sont essentiellement des gaz, des ballonnements, une diarrhée passagère et peut-être des maux de ventre légers à modérés. Dans un cas comme celui-ci, il est possible de poursuivre la cure de ferments lactiques. Toutefois, si les symptômes s’intensifient ou s’ils durent plus de deux à trois semaines, il est préférable de mettre un terme à la cure et de consulter un professionnel de santé.
En raison de l’apparition fréquente de troubles intestinaux qui fait suite à la prise de probiotiques, certaines personnes doivent les éviter. Un avis médical est essentiel pour les personnes qui souffrent de troubles de l’immunité, comme les personnes immunodéprimées ou les bébés prématurés, par exemple. Il faut également éviter de les utiliser sans un avis médical préalable en cas de nausées, de vomissements, de douleurs abdominales, de diarrhées hémorragiques ou de fièvre. Quant aux personnes intolérantes ou allergiques au lactose, il faudra choisir des sources alternatives aux produits laitiers fermentés.
Les personnes qui souffrent d’une pancréatite aiguë ne doivent pas recevoir de probiotiques dans le cadre de leur traitement. En effet, ceux-ci augmentent le risque de mortalité chez les patients qui en prennent, en raison d’un renforcement possible de la réaction inflammatoire de l’intestin et d’une augmentation de la demande de l’intestin en oxygène (2).
Chez les personnes immunodéprimées, les probiotiques tirent avantage de la faiblesse du système immunitaire. Ils deviennent alors des souches bactériennes opportunistes qui peuvent provoquer des infections systémiques dans l’organisme. Les cas recensés sont rares, mais il faut ici appliquer un certain principe de précaution (3).
Nous le savons : la résistance aux antibiotiques est un problème de santé publique sérieux et très préoccupant. Au fil du temps, les antibiotiques perdent en efficacité parce que les bactéries développent une résistance qui se renforce. On suppose d’ailleurs que ces résistances se transmettent entre les différentes bactéries via les plasmides (de petits cercles d’ADN). Il s’agit ni plus ni moins d’échanges de gènes qui se produisent dans l’intestin ainsi que dans les cultures cellulaires. Aujourd’hui, on observe ces gènes de résistance aux antibiotiques dans les bactéries lactiques (4). Mais à l’heure actuelle, la transmission de cette résistance aux antibiotiques entre bactéries reste théorique. D’autres études scientifiques sont nécessaires pour mieux comprendre ce mécanisme.
En respectant la posologie des produits et en évitant de les associer (on ne prend qu’un probiotique à la fois), il n’existe pas de risque de surdosage. À l’inverse, si l’on dépasse les doses recommandées par les fabricants ou par les professionnels de santé, ou en associant plusieurs médicaments probiotiques, il existe un risque de surdose pour l’organisme. Une consommation trop élevée de ces ferments lactiques peut augmenter l’intensité et la durée des troubles intestinaux. La surdose survient dès lors que la quantité dépasse les besoins (5).
Quelques précautions peuvent être prises pour s’assurer de bien utiliser les probiotiques et d’en tirer tous les bénéfices, tout en réduisant les risques. Voici quelques règles d’or à suivre.
Les probiotiques ne doivent pas être pris en même temps qu’un traitement antibiotique : il faut les prendre après la fin du traitement. Mais pour qu’ils arrivent en vie dans les intestins, il est important de les prendre correctement. C’est-à-dire dans une eau tiède, ni trop froide, ni trop chaude. Il faut également les prendre à jeun avec un verre d’eau (à température ambiante idéalement) et non au cours d’un repas (30 minutes avant le repas ou deux heures après). Et pour les aider à proliférer dans notre corps, il n’y a rien de tel que les prébiotiques !
C’est la règle d’or de toute supplémentation, mais également de n’importe quel traitement médical. Il faut toujours respecter la posologie du produit. Si vous n’avez pas reçu de consignes de la part de votre médecin, respectez les dosages décrits dans la notice d’utilisation ou sur l’emballage du produit. Évitez les associations qui seront trop lourdes à supporter pour vos intestins. De même, les cures de compléments alimentaires doivent respecter des limites temporelles, avec des pauses entre chaque cure. Les cures de probiotiques durent généralement un mois, à renouveler plusieurs fois dans l’année si cela s’avère nécessaire.
On ne le répète jamais assez : la qualité est indispensable dès lors qu’il s’agit d’alimentation ou de supplémentation. Choisissez idéalement des ferments lactiques cultivés en France, par une entreprise aux valeurs éthiques et responsables. Les souches de probiotiques à consommer doivent avoir été testées cliniquement afin de s’assurer de leur efficacité et de leur innocuité. Ne consommez jamais un produit périmé, notamment lorsqu’il s’agit de matières vivantes comme les probiotiques. Les biotiques Natura Force associent différentes sources de probiotiques, pour une diversification optimale de la flore intestinale. Évidemment, ils sont aussi fabriqués et contrôlés en France !