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Le cancer est une maladie qui touche de très nombreuses personnes à travers le monde, et qui peut avoir différentes origines. Pour réduire les risques de développer la maladie, ou pour lutter contre celle ci, l'alimentation est connue comme l'un des facteurs déterminants. Le chanvre et le curcuma figurent parmi les remèdes naturels les plus souvent cités afin d'essayer de combattre naturellement le cancer. Nous allons donc tenter de découvrir pourquoi et comment et s'il s'agit de véritables remèdes ou bien de simples mensonges.
Le curcuma est depuis longtemps utilisé dans la cuisine indienne, et notamment comme additif alimentaire. Mais la plante est aussi utilisée en médecine traditionnelle depuis l’Antiquité. Le curcuma a bâti sa réputation sur sa composition nutritionnelle unique et sur son inimitable couleur. À travers le monde, les chercheurs tentent de percer les mystères de ce produit, et notamment de ses propriétés thérapeutiques, préventives et curatives. On connaît le curcuma pour être un excellent anti-inflammatoire naturel. Il permet notamment de lutter contre les maladies inflammatoires chroniques. C’est un parfait allié contre le diabète et les problèmes intestinaux. Mais il semblerait que la plante indienne soit également un allié face au cancer.
L’épice doit bon nombre de ses propriétés à sa teneur en curcumine, son principe actif, et en curcuminoïdes. Ces derniers sont des composés antioxydants naturels et puissants, à l’origine de sa belle couleur orangée mais aussi de son efficacité. Mais le rhizome de la plante est aussi riche en nutriments variés. Parmi les vitamines qu’il contient se trouvent les vitamines C, E, K, B1, B2 et B6. On y trouve aussi quelques oligo-éléments et sels minéraux comme le zinc, le manganèse, le fer, le magnésium, le potassium, le cuivre et le phosphore.
La plupart des bienfaits anti-cancer du curcuma sont liés à la présence de curcumine dans sa composition. D’où l’intérêt de choisir du curcuma de qualité, caractérisé par un titrage élevé en curcumine. Optez aussi pour un aliment provenant de ses régions originelles et d’une agriculture biologique. Votre curcuma sera d’autant plus efficace contre la maladie. Nombreux sont les laboratoires à s'être penché sur les effets du curcuma sur le cancer et à proposer différents compléments. Néanmoins, il est recommandé avant de démarrer une cure de curcuma de demander l'avis d'un médecin, notamment dans le cadre d'une chimiothérapie, tout comme pour n'importe quel remède naturel ou complément alimentaire.
L’épice indienne est dotée de multiples vertus sur l’organisme. Aujourd’hui, nous nous penchons sur ses propriétés préventives et curatives face au cancer, ainsi qu’à ses différentes formes. Et dans ce domaine particulier, la recherche scientifique est très active. En quoi le curcuma est-il un remède naturel pour lutter contre le cancer ? Peut-il aider à prévenir le développement de la maladie ?
Les chercheurs estiment que la curcumine et ses effets sur l’organisme (anti-inflammatoires et antioxydants, notamment) jouent un rôle préventif et curatif face au cancer (1). Ce principe actif très puissant permettrait de bloquer la prolifération des cellules cancéreuses dans l’organisme. Pour cela, elle agit à différents stades de développement. Mais la curcumine favorise aussi la fabrication d’enzymes qui soutiennent l’organisme et l’aident à éliminer les cellules cancéreuses (2).
D’après les données disponibles, dans les pays asiatiques où le curcuma est largement consommé, les populations sont moins sujettes à plusieurs formes de cancer (3). De plus, dans les régions où les populations et les animaux sont exposés à des substances cancérogènes, la curcumine agit telle une véritable protectrice de l’organisme. Elle permet de prévenir plusieurs types de cancers, comme les cancers du poumon, de l’estomac, du côlon, de la peau, du foie, de l’œsophage, du sein, ainsi que les lymphomes et la leucémie (4).
À l’heure actuelle, de nombreuses études sont toujours en cours et les résultats sont très prometteurs (Curcumin as an anti-cancer agent : review of the gap between basic and clinical applications. Bar-Sela G, Epelbaum R, Schaffer M. Curr Med Chem. 2010). Selon les données disponibles, le curcuma serait associé à une diminution du risque de cancer chez les fumeurs et les patients à risque.
La communauté scientifique prend très au sérieux les propriétés anti-cancer du curcuma et de la curcumine. Plusieurs essais cliniques en cours offrent des résultats encourageants dans ce sens. Et ce, notamment lorsque la consommation de curcuma est associée avec les traitements par chimiothérapie. Dans certains cas, ce remède naturel permet de stabiliser l’évolution de la maladie lorsqu’elle touche le pancréas (5). On peut aussi associer la curcumine à une stabilisation du cancer colorectal. La curcumine augmente la sensibilité des cellules cancéreuses aux effets du traitement. C’est de cette manière qu’elle accompagne le processus de guérison des patients.
Ainsi, en plus de soutenir la prévention de la maladie, la curcumine favorise les traitements du cancer. Le curcuma est donc un adjuvant aux traitements habituels de la maladie. Cela signifie que la curcumine augmente de manière significative les effets thérapeutiques de la chimiothérapie et de la radiothérapie. Pour les personnes atteintes d’un cancer, elle peut être d’un grand soutien.
La biodisponibilité de la curcumine, le principe actif du curcuma, soulève un grand nombre de questions. Il semblerait que l’efficacité anti-cancer du curcuma soit en grande partie ciblée sur l’appareil digestif. En effet, c’est dans les organes de notre tube digestif que le taux de curcumine est le plus élevé (6) ! Ainsi, pour profiter des réels bienfaits du curcuma, il est impératif de l’associer à d’autres éléments capables d’augmenter sa biodisponibilité. Dans cette mission, le poivre a souvent été présenté comme le meilleur élément à associer à la curcumine. Or, il s’avère que les oméga 3 sont tout aussi efficaces pour améliorer l’assimilation de ce principe actif !
Le chanvre est une plante qui trouve ses origines en Asie centrale. Utilisée depuis des milliers d’années, on lui prête de multiples usages. La tige de la plante est une grande source de fibres et on les utilise pour concevoir du papier, des vêtements, des voiles et des cordages. La culture de chanvre s’est rapidement exportée à travers le monde. Aujourd’hui, l’Amérique du Nord est un des plus grands producteurs de chanvre du monde.
Il faut savoir que le chanvre est une plante écologique et polyvalente, offrant une grande résistance et un potentiel sans limites. On sait encore peu de choses sur les usages alimentaires du chanvre. En revanche, les usages médicaux et thérapeutiques de la plante sont au cœur de la recherche scientifique. Dans ce but, et pour créer des huiles et des produits variés, on utilise la graine de la plante. Elle est riche en nutriments, et très intéressante.
La graine du chanvre est particulièrement riche en protéines. Elle contient de grandes quantités d’acides aminés soufrés et d’arginine. Ces protéines sont très bien digérées par l’organisme, soit dit en passant. Ces graines contiennent aussi des lipides et des glucides. En ce qui concerne les minéraux, il faut préciser que le chanvre est une très bonne source de vitamines B (B1, B2, B3 et B6), ainsi que de vitamines A et E. Il contient par ailleurs différents sels minéraux et oligo-éléments tels que le magnésium, le phosphore, le potassium, le calcium, le fer, le zinc, le chrome, le silicium et le manganèse.
Le chanvre contient des acides gras essentiels (oméga 3 et oméga 6), notamment lorsqu’il se présente sous la forme d’une huile végétale. Elle est d’ailleurs une alternative possible à l’huile de poisson. Associer ces deux huiles est idéal dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée.
Le chanvre, souvent assimilé au cannabis, est parfois présenté comme un remède naturel au cancer. Il s’agit pourtant de deux plantes distinctes. Le chanvre peut-il permettre de prévenir la maladie, comme le curcuma ? Est-il efficace dans les traitements de la maladie ?
Dans le cadre des usages thérapeutiques du chanvre, il est important de différencier les formes de la plante. Le chanvre est souvent associé au THC, la substance psychoactive du cannabis. Or ici, il est question du chanvre pauvre en THC. En usage thérapeutique, on a recours au CBD (ou cannabidiol), qui est une substance dépourvue d’effets psychoactifs. De nombreuses études scientifiques portent sur les effets du CBD dans le cadre du traitement du cancer.
L’équilibre entre nos apports en acides gras oméga 3 et 6 est indispensable pour le maintien de la santé. Le chanvre est l’un des rares aliments qui permettent de préserver cet équilibre puisqu’il propose des proportions idéales entre ces deux éléments. Consommer du chanvre en graines ou en huile peut se révéler très bénéfique pour la santé. En prenant soin de respecter une alimentation saine et équilibrée, on peut prévenir l’apparition de la maladie et son développement.
On ne peut pas utiliser une plante pour guérir le cancer si on ne met pas en place un traitement médical adapté. Or, si les plantes ne soignent pas complètement la maladie, elles peuvent nous y aider ! C’est le cas du chanvre et de ses diverses formes. En effet, le CBD, qui n’est autre que le composé relaxant de la plante, se montre particulièrement efficace dans le traitement de plusieurs types de cancer. Face au cancer, le chanvre peut apporter un grand soutien aux malades. Il permet de limiter les douleurs et certains effets indésirables du traitement, comme les nausées et les vomissements.
Ce sont les cannabinoïdes présents dans le chanvre qui soulignent un effet antitumoral de la plante. Et les études en cours semblent encourageantes, selon l’Institut national américain du cancer. En laboratoire, le cannabis a plusieurs fois démontré son effet antitumoral. Mais pour l’heure, ces affirmations doivent encore être appuyées par des résultats concrets. Ainsi, le cannabis (et le chanvre) se distingue plutôt comme adjuvant à la chimiothérapie, tout comme le curcuma. On ne l’utilise pas en traitement direct, mais en complément des autres traitements habituels. Le cannabis peut ainsi aider à traiter certains symptômes du cancer et même à atténuer les effets secondaires des traitements.
La communauté scientifique effectue des recherches sur le THC, la substance psychoactive de la plante. Si son usage récréatif est sanctionné par la loi, dans certains pays, les patients atteints du cancer se voient prescrire cette substance. Elle agit notamment contre les nausées et les vomissements causés par la chimiothérapie. Mais le THC permet aussi de réduire les douleurs chez les patients atteints d’un cancer (7). Dans ce cadre, le chanvre peut se révéler aussi efficace que la codéine. Dans le monde, de nombreuses personnes atteintes de douleurs consomment du cannabis afin de soulager leurs maux. Cependant, les freins à son utilisation restent les effets indésirables et les contre-indications à sa consommation, qui sont nombreux. Pour toute question, n’hésitez pas à solliciter l’avis de votre médecin.
Ce qu’il faut retenir
Il n’existe malheureusement aucun remède miracle face au cancer. Or, certains remèdes naturels à base de plantes semblent bien enclines à nous aider à lutter contre cette maladie. Le curcuma et le chanvre sont deux plantes dotées de propriétés hors du commun et très puissantes. Elles gagnent à être étudiées par la communauté scientifique. C’est ainsi que leurs secrets, comme leurs bienfaits, peuvent être révélés et proposés au plus grand nombre de patients. Face au cancer, sollicitez le curcuma et le chanvre !